lundi 11 février 2013

Tensions et interrogations après l'exécution de Mohamed Afzal en Jammu et Kasmir

La décision de pendre Azfal n'était pas politique, c'était l'aboutissement de la procédure judiciaire, déclare le Ministre de l'Intérieur indien. Le Chief Minister du Jammu-and-Kashmir avait émis des réserves sur l'opportunité de l'exécution et comparé avec les cas des assassins de Rajiv Gandhi et Beant Singh. Les cas sont très différents, et du reste, encore en cours devant la Cour Suprême, contrairement au cas d'Afzal, dont la demande de grâce avait été rejetée, a expliqué Sushilkumar Shinde.

Le Pakistan a réagi avec précaution à l'annonce de l'exécution de Afzal, et a annoncé ne pas souhaiter rentrer dans les détails du procès.

Blessé par balle par les forces de sécurité durant les manifestations qui ont suivi l'exécution d'Afzal, un petit garçon de 12 ou 13 ans est mort à l'hôpital. Une enquête sera diligentée sur les circonstances ayant provoqué son décès.

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